Article 1: Préambule Les règles de l'économie de Route du Vice et de la ViViVi (Vibrante Vie Vicieuse) sont applicables à tout voyageur, habitant et/ou commerçant de Sa Vicieuse Province. Le Gouv et le BM se chargent de faire respecter ces règles dans la bonne entente et avec tout le vice qui leur est dû. Les plaintes au niveau économique - comme n'importe quelle autre - sont à faire parvenir par kramail.
Article 2: ImpotsLes impôts provicieux sont fixés à 5%, pour le moment.
Article 3: Commerces et Constructions - Pour toute érection de nouveau bâtiment (habitation ou commerce), quel qu'il soit, il vaut mieux obtenir un permis de construire auprès des BM et Gouv de la province. Ceci étant demandé simplement pour éviter l'anarchie et limiter les dépenses de matières premières dans des bâtiments pas forcément nécessaires au départ.
Inspirez-vous de ce plan pour demander un terrain plutôt qu'un autre.
- Pour les doubles commerces, à part pour l'éducation, il n'est pas NECESSAIRE pour le moment de voir des doublons commerciaux.
- Pour chaque commerce, soit le propriétaire se charge de remplir ses stocks des matières premières nécessaires au bon fonctionnement du commerce et dans ce cas, leur prix de rachat peut être bas, soit les clients doivent amener ce dont ils ont besoin pour produire ce qu'il veulent comme objet fini et dans ce cas, le prix de rachat des matières premières devra être égal au prix de vente du Centre de Prod de la ville +1ny.
- A Vice, le côté Vicieux de notre -force- foi est très présent et se doit d'être enseigné au prix le plus bas possible.
- Dans l'optique de la vie vicieuse, l'auberge proposera des boissons alcoolisées et tartes aux prix les plus bas possibles pour elle (dès que les problèmes de gestion de la ferme seront réglés). Il paraît aussi NECESSAIRE de proposer des salades à des prix abordables.
- En ce qui concerne l'infirmerie, les tarifs ont été décidés par le propriétaire dans un tableau de choix que je lui ai soumis.
Si toutefois, vous trouviez tous ces prix trop chers (ou le contraire, mais ça vous ne le direz jamais, faut pas se leurrer), vous êtes priés de vous faire connaître auprès de moi-même. Quand je dis "trop chers", j'entends par là que vous ne pouvez pas en profiter car vous n'avez JAMAIS assez d'argent.