Ô Parc,
toi que j'ai longtemps gouverné
toi qui m'a toujours acceuillis
Aujourd'hui, je dois te quitter.
Mais je te promets qu'un jour
tu seras débarassé du joug de nos ennemis
les méditations te seront pour toujours associées
et personne, ni les kras, ni les pallas,
feront de l'argent ta principale valeur.
Ô Parc,
je reviendrai te gouverner
et je pleure de devoir m'en aller.
Je t'aime...
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